La représentation de tous les Jacquolandins et toutes les Jacquolandines dans nos productions de communication est une question essentielle, au cœur de nos actions de service public.
En ce sens, St-Jacques a tenu à formaliser un ensemble de règles de bonne conduite guidant la réalisation de nos supports de communication (écrits et non-écrits). Pour ce faire, un groupe de travail composé d’élu·es et d’agents s’est penché sur les termes du débat et l’état de la question dans notre société contemporaine.
Compte tenu :
- De nos missions de service public ;
- Du rôle d’exemple de la communication publique ;
- De l’adaptation des collectivités territoriale aux évolutions de la société ;
- De notre travail déjà engagé sur les questions de l’égalité et de la non-discrimination (notamment à travers le CCAS jacquolandin ou le GE égalité);
- Des évolutions sociales récentes dont témoigne l’augmentation des pratiques de communication égalitaire ;
- De l’évolution du cadre règlementaire européen, national et territorial (cf annexe) ;
- Des préconisations du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes (notamment à travers sa convention d’engagement pour une communication publique sans stéréotype de sexe) ;
Les mesures suivantes ont été préconisées par le groupe de travail, adoptées en majorité municipale et présentées aux agents pour déploiement :
- Ne pas utiliser d’expressions sexistes ou toutes autres formes de discriminations ;
- Veiller à une représentation visuelle aussi variée que la population jacquolandine, en matière de sexe, d’âge, de couleur de peau, de corps, de handicap, …
- Accorder les noms de métiers, titres et fonctions avec le sexe des personnes qui les occupent ;
- Utiliser l’ordre alphabétique lors d’une énumération ;
- Utiliser les outils d’écriture égalitaire que sont les termes épicène (non-genrés), l’énumération féminin/masculin et le point médian, dans nos outils de communication externe ;
- Préférer le terme « écriture égalitaire » à « écriture inclusive ». Il n’est pas question « d’inclure » la moitié de la population : les femmes sont déjà là. Il s’agit de les considérer comme égales aux hommes.
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